Le 29 mars sort le film de Jeanne Herry. Une coproduction France 3 Cinéma avec Birane Ba, Leïla Bekhti, Dali Benssalah, Élodie Bouchez, Suliane Brahim, Jean-Pierre Darroussin, Adèle Exarchopoulos, Gilles Lellouche, Miou-Miou, Denis Podalydès et Fred Testot. Des condamnés pour vols avec violence, des victimes de braquages et de vols, mais aussi une victime de viols incestueux s’engagent dans des mesures de justice restaurative, encadrés par des professionnels et des bénévoles. « Je ne fais pas [d]es films pour parler de l’adoption ou de la justice restaurative, dit Jeanne Henry. Ce ne sont pas des documentaires. Le fond me touche, mais c’est d’abord le cinéma qui m’importe. Ce sujet, je le choisis car je pressens que je vais pouvoir y planter des graines de romanesque et qu’il va m’offrir la possibilité de faire un bon film. Au cours de mes recherches, un des interlocuteurs que j’ai rencontrés m’a dit : “L’objectif de la justice restaurative, c’est la libération des émotions par la parole.” C’est cette libération que j’ai voulu mettre en scène. »