Grilles

Curieux du métier de la maman de sa camarade, Bernard l'interroge : "metteuse en scène".
Dinguerie ! Mais c'est quoi exactement ? Des répétitions jusqu'à l'avant-première, marchons dans les pas de cette maman à qui rien n'échappe !

Les Maternelles XXL c'est la maison qui s'agrandit. L'émission iconique ouvre encore plus grand ses portes pour accueillir toutes les générations : jeunes parents, enfants, ados, grands-parents et toutes les formes de famille. Marie Portolano, accompagnée par Houssem Loussaief et toute la bande des Maternelles XXL explore la vie de famille sous toutes ses formes : parentalité, enfance, adolescence, grands bouleversements du quotidien, tendances éducatives et sociétales. Grâce au tchat en direct, aux vidéos envoyées par les tvsp, aux votes en live, le talk est connecté à son époque, utile et joyeux.

Animation : Fred Musa
Production : Prod et Cie

Planète Rap La Quotidienne débarque sur france.tv ! France Télévisions poursuit son engagement pour les cultures urbaines en proposant des formats courts quotidiens incarnés par Fred Musa.
Interviews d'artistes, décryptage, portraits, Planète Rap La Quotidienne, c’est l’émission de toutes les cultures urbaines à la fois feel good, ludique et dynamique.

Réalisation : Emanuele Crialese
Scénario : Emanuele Crialese, Francesca Manieri & Vittorio Moroni
Une production : CHAPTER 2
Une coproduction : France 3 Cinéma
Avec Penélope Cruz, Vincenzo Amato, Luana Giuliani...
(Déconseillé -10 ans)

Un portrait sensible d’une famille en bouleversement, porté par la quête d’identité.
Rome dans les années 1970. Dans la vague des changements sociaux et culturels, Clara et Felice Borghetti ne s’aiment plus mais sont incapables de se quitter. Désemparée, Clara trouve refuge dans la relation complice qu’elle entretient avec ses trois enfants, en particulier avec l’aînée née dans un corps qui ne lui correspond pas. Faisant fi des jugements, Clara va insuffler de la fantaisie et leur transmettre le goût de la liberté, au détriment de l’équilibre familial…

Documentaire produit par 13 PRODS, avec la participation de France Télévisions et du CNC. 2023.
Un film de Catherine Ulmer Lopez.
Image : Jérôme Colin.
Conseillère historique : Magali Dumousseau-Lesquer
Musique originale : Léo Vincent.
Raconté par Olivia Ruiz
Anticonformiste par excellence, Pedro Almodovar aura tout osé au fil de son immense carrière cinématographique. Confrontant pulsions, drogues et sexualité débridée, travestissant les identités, permettant au fil du temps l'éclosion d'un cinéma post-franquiste coloré, désinhibé et débarrassé de tout tabou. Dans une Espagne aujourd'hui rattrapée par son passé, le natif de la Mancha incarne l'ensemble de ces générations espagnoles qui savent à quel point il est important de se souvenir et de protéger à tout prix cette insolence artistique. Il nous rappelle que le cinéma peut changer une société !

Documentaire coproduit par Bangumi / France Télévisions. 2023.
Un film de Céline Chassé et Paul Sanfourche.
Réalisatrice Image : Julie Lazare.
Producteur : Laurent Bon.
Producteur éditorial : Julien Beau.
Productrice exécutive : Perrine Altman Perrin.
En 1919, l’arrestation de Landru fait la une de la presse, son procès attire la foule et les écrivains de l’époque qui commencent à écrire la légende du premier tueur en série français. Plus tard, ce seront les cinéastes, la télévision et les plateformes qui contribueront à faire des serial-killers de véritables héros monstrueux de notre culture populaire. Les artistes qui ont mis en scène ces figures violentes, les stars du petit écran qui les ont popularisées et les familles de victimes qui assistent impuissantes à cette dérangeante starification reviennent sur les coups d’éclat de cette passion collective et morbide. Christophe Hondelatte décrypte les 23 saisons de « Faites entrer l’accusé » qui ont fait le succès des tueurs en série. Maxime Chattam analyse la trajectoire d’Ed Gein qui inspira « Psychose » et « Le silence des agneaux ». La journaliste Patricia Tourancheau revient sur l’incroyable imposture du spécialiste des serial-killers Stéphane Bourgoin ou encore les interviews chocs de Charles Sobhraj, dit le Serpent. A l’aide d’extraits de films patrimoniaux, d’archives d’émissions de télévision cultes et de séries d’aujourd’hui, le film explore notre fascination pour les tueurs en série par le prisme de la pop culture. Une curiosité insatiable qui questionne les pulsions inavouables de nos sociétés contemporaines.

Production: Black Dynamite

Le magazine hebdomadaire consacré au cinéma, Beau Geste, animé par Pierre Lescure, part à la rencontre de son public, en partenariat avec France Télévisions et le MK2 Institut. A travers un cycle de quatre conférences, Beau Geste en public proposera une réflexion en lien avec des rendez-vous cinéma sur les antennes de FTV.
Pour ce premier numéro, en écho au documentaire Maria by Callas diffusé en première partie de soirée sur Culturebox, Beau Geste en public traitera des biopics au cinéma. A cette occasion, Pierre Lescure sera entouré d'experts : Pascal Ory, Josée Dayan et Léa Domenach.
Bernadette Chirac, Bernard Tapie, Robert Oppenheimer, Mark Zuckerberg, Simone Veil, bientôt Napoléon et de Gaulle. Le biopic fait recette, et ce depuis toujours. Georges Méliès, en 1899 déjà, mettait en scène la figure de Cléopâtre.
Depuis plusieurs années, le biopic est devenu un phénomène culturel massif. Les ingrédients du succès sont connus : des personnages déjà adoubés par le grand public, des acteurs « bankable » récompensés pour leur performance, la promesse de percer les mystères d'une légende…
Avec le risque de réécrire l'Histoire. À chaque sortie de film, une question se pose : quelle liberté le cinéaste choisit-il de prendre avec le réel ? Quelle évolution a connu le genre ?
Quels enseignements tirés des choix de personnages portés à l'écran ? Comment nous renseignent-ils sur l'époque ? Personnalités politiques, sportifs, icônes culturelles, grands personnages historiques ?
Si la fiction permet de s'émanciper de la réalité biographique, jusqu'où peut-elle aller ?
Jusqu'à remplacer les manuels d'histoire et modifier durablement l'imaginaire populaire ?
Derrière le divertissement, quels enjeux historiographiques ? Comment l'historien reçoit-il la mention "inspiré d'une histoire vraie" ?

Production : Elzevir Films

Un ballet historique mêlant amitié, amour, trahison, insolence et liberté.

Gustavia fut le premier et unique membre de la cour royale suédoise d’origine africaine. Il grandit au cœur d’une expérience sociale audacieuse imaginée par la reine Louisa Ulrika (1720-1782), qui choisit de le laisser vivre selon ses propres règles. Libéré des contraintes habituelles, il défiait ouvertement les conventions de la noblesse et tournait en dérision la religion. Au fil des années, il occupa de multiples rôles : danseur de ballet, ambassadeur, président des francs-maçons, mais aussi homme de confiance de la reine, gardien fidèle des secrets de la cour. Pourtant, malgré cette vie exceptionnelle, les livres d’histoire ne mentionnent que rarement son nom. Il est aujourd’hui temps de mettre en lumière cette figure oubliée de la monarchie suédoise. Élevé selon les principes inspirés des théories de Rousseau, prônant les bienfaits d’une éducation libre, dénuée de règles strictes, censée mener à un adulte équilibré et confiant, Gustav Badin incarne une expérience sociale inédite pour son époque. Était-il le simple objet d’une expérience due à ses origines ? Un bouffon aux yeux des courtisans ? Ou un homme déterminé à prouver sa valeur et à défier les préjugés ?
Mais Gustavia ne se limite pas à cette réflexion sur la liberté et la différence. L’œuvre explore également la relation complexe entre les deux « frères » royaux, Badin et Gustav III, dont les éducations opposées ont nourri jalousie, rivalité et trahison, sur fond d’amours secrets et de tensions politiques. Pour servir cette histoire incroyable, quelle distribution : le directeur artistique primé Amir Chamdin, le grand chorégraphe Pär Isberg, Guillaume Diop, danseur étoile de l'Opéra de Paris dans le rôle principal, et l'Orchestre Royal de Suède dirigé par Philippe Béran, avec des musiques de Brahms, Bologne ou Beethoven. Tous les ingrédients sont réunis pour mettre en scène la vie de Gustav Badin, ancien esclave élevé par la reine aux côtés de son propre fils, le futur roi Gustav III.

Réalisation
Antoine Goetghebeur

Conseillère de programme
Aurélie Hamelin-Mansion

Production
La Belle Télé en co-production avec L'Opéra national de Paris


Depuis 2022 et pour plusieurs années, l’Opéra national de Paris a initié une opération inédite. Dans cette dynamique d’ouverture, des danseurs et des membres de l’Académie se sont rendus en Guyane, pour donner des cours et avec l’ambition de détecter parmi la jeunesse guyanaise, de futurs talents appelés à se produire, un jour, sur la scène du Palais Garnier. Emy, Kayssly et Lee-Wei sont trois jeunes Guyanaises qui rêvent d’étoiles. Parviendront-elles à les décrocher ?

Ce film raconte l’histoire de rencontres entre des univers culturels différents, reliés à une même galaxie, et la possibilité d’unir toutes ces étoiles, réelles ou en devenir. La magie des rencontres, le travail des corps, la persévérance contribuent jour après jour à la transmission de l’art et à faire grandir les vocations. Nous entrons durant quelques jours dans le quotidien de ces jeunes adolescentes pour voir évoluer au cours du film leur vocation et leur indéfectible rêve d’une carrière de danseuse.