Grilles

Veuf depuis deux ans, Joscelin s’étourdit dans le travail, il faut qu’Alice, sa fille de 16 ans, se fasse renvoyer du lycée pour qu’il admette enfin qu’elle aussi va mal. Leurs rapports sont à la fois distants et tendus, et l’adolescente est envoyée contre son gré à la campagne. Elle y mène la vie dure à ses grands-parents jusqu’à ce qu’elle fasse la connaissance de Doucette, une jolie vache dont la tendresse qu’elle porte à son veau la touche et l’apaise. Mais un jour, la bête est chargée dans une camionnette, direction l’abattoir. Quand Alice, bouleversée, comprend que le petit de Doucette est le prochain sur la liste, elle cesse du jour au lendemain de manger de la viande et se révolte. Prête à tout pour sauver le veau, elle se rapproche de militants antispécistes et s’engage avec toute la force et l’excès de son âge, loin d’imaginer que ce combat contre la souffrance animale pourrait devenir le terrain de sa réconciliation avec son père, de leur résilience à tous deux... A condition qu’il ne vire pas au drame. Lors de l’attaque de l’abattoir où est conduit le veau, un gardien se retrouve au sol, plongé dans un coma profond. Les gendarmes s’en mêlent...

Le monde agricole est en crise : 200 fermes disparaissent chaque jour en France et le modèle agro-chimique mis en place dans les années 50 arrive à sa fin. Pourtant des jeunes hommes et femmes, bien conscients que les enjeux actuels – produire mieux, préserver l’environnement – sont immenses ont décidé de relever le défi. Ce sont ces agriculteurs de demain que l’Installation veut montrer, en suivant pendant une année les élèves d’un lycée agricole.

En immersion dans une usine de toile de jute sur les bords d’un affluent du Gange à Calcutta, le film The Golden Thread nous promet un voyage au sein d’une industrie d’un autre âge qui renait grâce à un intérêt renouvelé pour les fibres naturelles et aborde la question des conditions de travail de ses centaines d’ouvriers. Un film qui questionne la pérennité de ce système et soulève la fragilité de ses acteurs qui sont associés par la réalisatrice à l’écriture du film.

Au bout de l'enquête, la fin du crime parfait ?

Ce magazine s'intéresse aux "Cold case". Des affaires classées, réputées insolubles, qui ont parfois résisté près de 50 ans à la ténacité des enquêteurs avant qu'un indice, un témoignage inespéré ou une expertise scientifique innovante ne permettent de confondre les coupables.

Au bout de l'enquête, la fin du crime parfait ?

Ce magazine s'intéresse aux "Cold case". Des affaires classées, réputées insolubles, qui ont parfois résisté près de 50 ans à la ténacité des enquêteurs avant qu'un indice, un témoignage inespéré ou une expertise scientifique innovante ne permettent de confondre les coupables.