Un documentaire de François Dourlen et Hugo Guillochin

Je connais personne, un documentaire inédit

suivi d'un débat animé par Emilie Flahaut consacré à la Normandie, une terre de cinéma
Jeudi 18 mai à 22.45

Estèphe a 22 ans, a grandi en province et rêve de cinéma. Mais loin de Paris et sans aucun contact, c’est vers l’école qu’il place ses espoirs jusqu'à l'échec du concours de la FEMIS où il termine en tête... de la liste d’attente. Tout va donc s’arrêter là ? C’est de là que tout va pourtant commencer. Une quête irrépressible pour entrer dans le monde du cinéma, non pas par la voie royale, mais par une envie, des rencontres et un peu de culot. L'histoire de celui qui n'aurait jamais dû y arriver.

 

Il a 22 ans, il a grandi en province et rêve du grand écran. C’est un rêve bien caché, presque inavouable, car impossible à concevoir quand le cinéma, c’est un petit complexe de deux salles, et quand Paris est à 4h de train. Mais c’est une idée qui germe en lui depuis toujours, à travers les premiers storyboards dessinés au collège jusqu’aux films amateurs fabriqués entre copains tout au long de l’adolescence.

Estelle adolescent


Loin de Paris et sans aucun contact, c’est naturellement vers l’école qu’Estèphe place ses espoirs. Les assos au Collège, Lycée option cinéma… Un parcours exemplaire et puis enfin le concours qui mène au Graal : la Fémis.

La Femis


Tous les espoirs sont permis. Mais c’est l’échec qui se pointe. Et pas n’importe lequel. Un échec singulier puisqu’il termine en tête… de la liste d’attente. Le premier des pas pris, le premier nom affiché des refusés. Le premier nom affiché donc, celui qui apporte son lot de doutes et de regrets sans recours. Tout va donc s’arrêter là ? Fin d’un rêve trop grand, sans doute. C’est de là que tout va pourtant commencer.
De l’amour paternel va surgir un détonateur, sous la forme d’un simple mail envoyé à un inconnu. Ce mail, c’est la bouteille à la mer envoyée par le père d’Estèphe.

 

Père d'Estelle


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23h40 : Suivi d'un débat présenté par Emilie Flahaut

La Normandie, terre de cinéma

Comment tourne-t-on des films en Normandie ? Quels sont les atouts de la région ? Qui est ce public fidèle dans les salles et les festivals ?

La Normandie est une terre de cinéma. Plus de 700 longs-métrages y ont été tournés. La richesse de ses paysages, de son patrimoine, sa lumière « impressionniste », et puis, bien-sûr, sa proximité avec Paris, en font une destination incontournable pour les tournages. Mais la Normandie est aussi un vivier d’artistes et une terre de diffusion grâce, notamment, à ses festivals.

Débadoc La Normandie, une terre de cinéma

 

Pour en parler, Emilie recevra : 

  • Noémie Lefort, réalisatrice et scénariste normande, originaire de Rouen "Mon héroïne"
  • Julie Lerat-Gersant, actrice et réalisatrice de "Petites" tourné à Caen, Bayeux et Cherbourg
  • Félix Chrétien, directeur artistique du Festival du Film de Cabourg, un festival qui fêtera sa 37ème édition du 14 au 18 juin
  • Denis Darroy, Directeur de Normandie Images, l'association qui accompagne et développe le cinéma, l'audiovisuel et la création multimédia en Normandie
  • Estèphe Lesaulnier, apprenti cinéaste, héros du documentaire "Je connais personne"

 

 

LFEV

Je connais personne

Un documentaire 
réalisé par François Dourlen
et Hugo Guillochin

Montage :
Laurence Crotet-Beudet

Produit par : 
NOLITA
Mathieu Ageron
Maxime Delauney
Romain Rousseau


Avec la participation de :
France Télévisions
et avec le soutien de la
Communauté d'agglomération du Cotentin

 

Diffusion
 Jeudi 18 mai à 22.45
sur France 3 Normandie

Déléguée aux antennes
et aux contenus :
Maud De Bohan

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Fabienne Bahin
Déléguée de la communication de France 3 Normandie
Aurélie Duplessi
Responsable communication France 3 Normandie
Laurine Benard
Chargée de Communication
Laurine Benard
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