Avec 1.3 million de téléspectateurs en moyenne depuis son arrivée sur France 2, Au bout de l’enquête est désormais la première émission de faits divers récurrente en France. 

Aux côtés de Marie Drucker, Alain Bauer, professeur de criminologie, apporte sur chaque affaire un éclairage technique, psychologique, sociologique ou  historique pour comprendre les procédés mis en œuvre au cours de l’enquête, mais aussi ses enjeux et ses répercussions.

Chaque fait divers raconte non seulement l’évolution des méthodes d’enquête des services de police et de gendarmerie, mais aussi une époque, un milieu, une région, un contexte historique ou social. A travers le récit des crimes et de leur résolution, Au bout de l’enquête écrira chaque samedi une page méconnue de l’histoire de la société française.

Un soin tout particulier est apporté à la qualité du récit et de la mise en images. Le magazine s’appuie en outre sur l’expertise et la rigueur d’une équipe rédactionnelle aguerrie, spécialiste de l’analyse et du décryptage des faits divers.

Une enquête de Jean-Pierre Vergès

A la fin des années 80, la ville d’Annemasse en Haute-Savoie a connu la psychose. En pleine rue ou dans des cages d’escalier, des jeunes filles sont la cible d’un pervers. Emmenées de force, elles sont ligotées, baillonnées et agressées sexuellement. L’une d’entre elle va même trouver la mort. L’agresseur est manifestement méticuleux et organisé car il laisse peu de traces. Les pistes se multiplient et il faudra des années avant qu’un meurtrier au profil particulièrement complexe et inquiétant soit démasqué.