Les grands thèmes de la série

Les personnages de la série et les grands enjeux de la conservation de la biodiversité

La Méditerranée est un point chaud de la biodiversité mondiale qui abrite près de 10 % des espèces de la planète, alors qu’elle couvre moins de 1 % de la surface des océans de la planète. Cette mer semi-fermée est densément peuplée par les humains depuis des millénaires. Aujourd’hui, elle est traversée par 30 % du trafic maritime mondial et attire des centaines de millions de visiteurs chaque année. La Méditerranée est une mer sous pression. Comment les êtres vivants s’adaptent-ils à l’omniprésence de l’homme et de ses activités ?

Voici quelques éléments factuels sur les personnages principaux de la série et les défis auxquels le vivant fait face aujourd’hui en Méditerranée.

La tortue caouanne


Taille adulte : environ 1 mètre

Poids : 100 kg

Alimentation : crustacés, mollusques, méduses

C’est une des deux seules espèces de tortue qui se reproduit en Méditerranée (avec la tortue verte). La caouanne est une migratrice qui parcourt de très longues distances entre ses zones d’hivernage et les sites de ponte estivaux. Ses zones d’hivernage-nourrissage préférées se trouveraient en Tunisie (golfe de Gabès – particulièrement pour les tortues nées en mer Égée), en mer d’Alboran, aux Baléares, en Sardaigne, au nord de la mer Adriatique et, de plus en plus, en France. Ses sites de ponte sont principalement situés dans la Méditerranée orientale (Grèce, Turquie, Chypre), où elles se portent de mieux en mieux depuis quelques années. Quelques pontes ont même été ponctuellement observées en France (Var, Corse) en 2020-2021. La tortue caouanne est toutefois classée sur la liste rouge de l’UICN, ce qui indique qu’elle est très vulnérable.

Elle possède un grand sens de l’orientation (grâce à son odorat et sa perception fine du champ magnétique terrestre), qui lui permet de retrouver au mètre près la plage de sa naissance, où elle pond ses œufs.

Les principales mesures pour protéger les tortues :

–       Renforcer le suivi et la protection des zones de nidification (comme le fait l’association grecque Archelon présentée dans la série)

–       Lutter contre toutes les formes de pollution (lumineuse, plastique)

–       Adapter les techniques de pêche et sensibiliser les pêcheurs à la protection des tortues

La cigogne blanche


Envergure adulte : environ 2 mètres

Poids : 3-4 kg

Alimentation : insectes, vers, amphibiens

La cigogne est une espèce « anthropophile ». Elle apprécie la proximité des humains. Elle se nourrit dans les zones agricoles, niche dans les villes. Chaque année, elles entreprennent en groupe d’extraordinaires migrations entre leurs zones d’hivernage en Afrique subsaharienne et leurs zones de nidification en Europe. Ces grands oiseaux ne peuvent pas traverser la Méditerranée n’importe où. Ils ont besoin d’ascenseurs thermiques pour s’élever dans les airs et planer au-dessus de l’eau. Cette technique ne fonctionne que sur des courtes distances, en deux points bien précis : le Bosphore et le détroit de Gibraltar. Mais, dans le sud de l’Espagne, les schémas migratoires sont en train de changer depuis quelques années. De plus en plus de cigognes trouvent le climat andalou clément même au cœur de l’hiver. Et avec d’immenses décharges à ciel ouvert, la nourriture est abondante toute l’année. Alors, les grands vols de cigognes qui traversent le détroit de Gibraltar sont-ils voués à disparaître ?

Les cigognes sont fidèles à leur nid d’une année sur l’autre (dans 80 % des cas). Le plus souvent, les jeunes cigognes mâles trouvent un ancien nid pour s’installer, condition nécessaire pour espérer trouver une partenaire.

En Europe de l’Ouest, les populations de cigognes sont plutôt orientées à la hausse, effet de mesures de protection efficaces.
Les principales menaces pour les cigognes sont :

–       L’électrocution sur les lignes électriques

–       La sécheresse en Afrique

–       L’intensification des pratiques agricoles qui menace leur alimentation

Le thon rouge


Taille adulte : jusqu’à 3 mètres

Poids : jusqu’à 600 kg

Vitesse maximale : 70 km/h

Alimentation : petits poissons (sardines, anchois…)

Ce géant des mers fréquente la Méditerranée depuis des milliers d’années pour sa reproduction. Il était déjà pêché massivement par les Romains qui nourrissaient leurs puissantes armées avec sa chair riche en protéines. Au début des années 2000, les populations se sont effondrées, sous l’effet de la surpêche. À partir de 2007, sous la pression de l’opinion publique et des ONG, des quotas stricts assortis de contrôles sont mis en place. Et ça a marché.


Aujourd’hui, le thon rouge est de retour en Méditerranée et les quotas ont pu été relevés. Toutefois, la situation est toujours fragile et les scientifiques surveillent de très près les populations pour éviter un nouvel effondrement. La science a fait des progrès rapides et on connaît maintenant beaucoup mieux les immenses migrations que fait le thon rouge. Certains chercheurs émettent aussi la théorie que les thons rouges se reproduisent plus à la faveur du réchauffement climatique.

L’hippocampe

Taille adulte : 15 cm (1 cm pour les petits à la naissance)

Durée de la gestation : un mois

L’étang de Thau, cette petite mer intérieure de 20 km de long, abrite un poisson bien étrange : l’hippocampe moucheté. Il vit dans les zones peu profondes de la lagune, bien abrité dans les herbiers et les algues. Il n’a pas d’écailles mais une cuirasse d’anneaux osseux. Il peut changer de couleur pour se camoufler ou encore pour attirer un partenaire.

Sa grande particularité est que ce sont les mâles qui portent les petits. Plus précisément, les femelles déposent leurs œufs dans la poche ventrale de leur partenaire et ce dernier accouche quelques semaines plus tard de plusieurs dizaines de minuscules hippocampes.

Principales menaces sur l’hippocampe de Méditerranée :

–       La dégradation de son habitat (herbiers notamment)

–       La pollution de l’eau

–       La pêche illégale

Le poulpe

Le poulpe commun (Octopus vulgaris) est un grand classique de la gastronomie méditerranéenne. Ce céphalopode est aussi connu pour sa remarquable intelligence et ses capacités de camouflage. Sa reproduction est beaucoup moins connue. Après un accouplement qui peut durer quelques heures, la femelle pond des centaines de milliers d’œufs de quelques millimètres chacun, rassemblés en grappes fixées à la voûte de sa tanière. Elle les protège et les oxygène en agitant ses bras. Elle arrête de se nourrir pendant cette période et meurt au bout d’un mois, quand les jeunes poulpes sortent de leur œuf et nagent en pleine eau pour rejoindre la cohorte du plancton.

Une mer de méduses dans le futur ?

Les méduses, angoisse des baigneurs estivaux. Méduses communes, pélagiques, œufs au plat… Plusieurs espèces existent en Méditerranée. Et les conditions du XXIe siècle sont plutôt à leur avantage : l’acidification des mers ne les dérangent pas, la surpêche supprime nombre de leurs prédateurs, le réchauffement climatique facilite leur prolifération, ainsi que la multiplication des déchets plastiques… Bref, elles ont de l’avenir !

Le pygargue à queue blanche bientôt de retour en Méditerranée ?

Envergure adulte : environ 2 mètres

Poids : 5-7 kg

Alimentation : poissons, rongeurs

Ce grand rapace peuplait autrefois les côtes de la Méditerranée. Aujourd’hui, l’espèce a quasiment disparu du pourtour de la grande bleue, principalement victime de la chasse. En revanche, le pygargue à queue blanche est relativement abondant en Europe du Nord et de l’Est. Des programmes de réintroduction dans le sud de l’Europe sont actuellement en cours : dans les Asturies, en Espagne, et au bord du lac Léman en France (projet Les Aigles du Léman de Jacques-Olivier Travers). Avec un espoir à moyen terme : que les pygargues à queue blanche repeuplent de nouveau l’ensemble du bassin méditerranéen !

© Boréales

Les collisions avec les cétacés (rorqual/cachalot)

De nombreux cétacés peuplent la Méditerranée : dauphins, rorquals, cachalots…

Or, le trafic maritime est très intense en Méditerranée (30 % du trafic maritime mondial) : pétroliers, porte-conteneurs, ferrys…

Pour les grands cétacés, les collisions avec des navires sont la première cause de mortalité non naturelle. On estime qu’elles augmentent de 20 % la mortalité des rorquals communs et des cachalots en Méditerranée.

Un système de partage de position des cétacés, nommé REPCET, existe. Basé sur le principe de la coopération et de la transmission des informations entre les navires, le logiciel REPCET permet à chaque navire équipé de renseigner et d’être renseigné sur la présence de cétacés sur sa route via la communication satellite et un serveur de traitement informatisé à terre. Une des limites de ce système est qu’il repose sur l’observation humaine et l’équipement des navires avec le logiciel.

Plusieurs associations et organisations poussent à des nouvelles mesures :

–       Des bouées intelligentes pour détecter en temps réel la position des cétacés et la transmettre aux navires, qui peuvent adapter leur allure/trajectoire (projet Stop Collision WWF-Quiet Oceans)

–       Des études sont actuellement en cours pour que la zone nord-ouest de la Méditerranée (entre la France, l’Italie et l’Espagne) devienne une « zone maritime particulièrement vulnérable » auprès de l’OMI (Organisation maritime internationale). Ainsi la vitesse des navires pourrait y être limitée afin de protéger les cétacés

–       La meilleure formation des personnels navigants aux risques liés aux collisions avec les cétacés (association Miraceti

La pollution sonore (rorqual/cachalot)

Contrairement à ce qu’on a longtemps pensé, les mers et océans ne sont pas le « monde du silence ». Les animaux qui y vivent font du bruit, communiquent par le son… Et les activités humaines peuvent parfois être très bruyantes. Dans l’eau, le son se propage cinq fois plus vite que dans l’air et à des distances beaucoup plus grandes. Aucun espace n’est donc épargné par la pollution sonore en Méditerranée. Les cétacés (cachalots, rorquals, dauphins…) sont particulièrement sensibles à la pollution sonore.

Elle crée un stress et affecte leur capacité à :

–       Communiquer : ce sont des animaux très sociables, qui peuvent communiquer par le son sur des distances énormes (plusieurs centaines de kilomètres pour les rorquals)

–       Se déplacer

–       Localiser des proies

–       Éviter les prédateurs

En somme, l’audition est un sens vital pour les cétacés, qui deviennent aveugles et inaptes à vivre s’ils le perdent.

Les baleines à bec sont particulièrement sensibles aux bruits des sonars militaires et bateaux de prospection pétrolière ; elles vont fuir vers la surface sans aucun palier de décompression et mourir d’une embolie.

Les études sont encore assez rares sur le sujet, mais la pollution sonore semble affecter aussi les poissons, mollusques et crustacés.

Pour le moment, il n’existe quasiment aucune règlementation pour limiter le bruit des activités humaines en mer.

Dans une Méditerranée où le trafic maritime est extrêmement intense, des scientifiques et associations travaillent sur différentes pistes pour limiter les dégâts de la pollution sonore :

–       La réduction de la vitesse des navires (qui permet aussi d’éviter les collisions)

–       Une meilleure prise en compte du bruit dans le design des bateaux

–       Un bon entretien de la coque et des hélices (qui permet déjà de réduire significativement le niveau sonore)

–       Équiper les bateaux les plus bruyants (navires militaires et de recherche pétrolière) de dispositifs acoustiques afin qu’ils puissent cesser ponctuellement leurs activités si des cétacés sont à proximité

Les phoques moines – histoire d’une renaissance

Taille adulte : environ 3 mètres

Poids : 300 kg

Alimentation : poissons, crustacés, poulpes

Le phoque moine est une espèce emblématique de la Méditerranée… qui a bien failli disparaître complètement à la fin du XXe siècle. Autrefois présent tout autour du bassin méditerranéen, aussi bien en Corse que dans les Calanques de Marseille, il a été chassé, a perdu ses zones d’habitat… Dans les années 1980, quelques biologistes grecs ont créé l’association MOM pour étudier et protéger les derniers phoques moines qui se cachaient dans des îles inhabitées.

En 1992, le parc marin des Sporades, dans le nord de la mer Égée, est créé. C’est le premier parc marin en Grèce. Grâce à lui, les phoques moines peuvent se reproduire sur des îles auxquelles aucun humain ne peut accéder. Trente ans plus tard, le phoque moine se porte mieux. Il est de nouveau présent sur la façade ouest de la Grèce, en Crète, en Turquie et commence à remonter le long des côtes de la mer Adriatique.

Quelques aires marines protégées (AMP) françaises où la série a été tournée : parc national de Port-Cros, parc national des Calanques, réserve naturelle des Bouches de Bonifacio.

Les ingrédients de ce sauvetage du phoque moine ?

–       Un effort de connaissance scientifique important pour mieux comprendre le mode de vie et les besoins spécifiques du phoque moine

–       La création d’une aire marine protégée « intégrale »

–       Le travail de sensibilisation auprès de toutes les personnes concernées (pêcheurs, touristes) pour apaiser les conflits

Le retour en force du flamant rose en France

Envergure adulte : environ 1,6 mètre

Poids : 3 kg

Alimentation : vers, insectes, poissons

Voilà une vraie success story pour la biodiversité ! Les flamants roses étaient une espèce en voie de disparition dans les années 1960. L’oiseau gracieux n’était pas protégé et les zones humides étaient massivement asséchées. Soixante ans plus tard, ils sont plusieurs dizaines de milliers à vivre en Camargue. Leur population a explosé grâce à des mesures de conservation fortes et à l’aménagement de certaines zones pour favoriser leur reproduction.

Des ornithologues baguent des centaines d’individus chaque année, ce qui permet d’améliorer les connaissances sur l’espèce, ses comportements migrateurs, son espérance de vie, qui peut dépasser les 40 ans…

Des études scientifiques récentes ont montré que, quand ils prennent de l’âge, les flamants voient leurs talents de danseur régresser. Ils maîtrisent de moins en moins de mouvements dans leurs parades de séduction. Anecdotique ? Pas du tout. La maîtrise parfaite de plusieurs dizaines de pas de danse est la clé du succès reproducteur. Alors le vieux flamant maladroit risque fort de ne pas trouver de partenaire…

Une vieille femelle dauphin atteinte d’Alzheimer

Les grands dauphins qui vivent au large de la côte française évoluent dans des groupes dirigés par une femelle, la matriarche. Cette dernière vit entourée de ses filles, de ses petites-filles et de tous les jeunes. Elle guide sa troupe à la recherche de nourriture, leur transmet des connaissances, leur enseigne les dangers à éviter…

Mais, alors que ses vieux jours sont déjà bien entamés, elle voit ses forces diminuer : ses muscles répondent moins, ses sens sont moins aiguisés. Son esprit lui aussi est affecté. Les dernières découvertes scientifiques le révèlent : les capacités cognitives des dauphins déclinent avec l’âge. De plus en plus d’indices pointent même vers la maladie d’Alzheimer chez les dauphins…

Les herbiers de posidonie, au centre de toutes les attentions

Contrairement à ce que beaucoup pensent, la posidonie n’est pas une algue mais une plante à fleurs. Elle est endémique de la Méditerranée et on la retrouve partout dans la grande bleue, dans les eaux peu profondes. Cette posidonie est un vrai « miracle » du vivant et un écosystème absolument vital pour la Méditerranée.

Les herbiers de posidonie sont un lieu d’alimentation pour de nombreux poissons, mais aussi un lieu de reproduction et une nurserie. La posidonie permet d’éviter l’érosion des plages, filtre l’eau et en limite la turbidité. Et, cerise sur le gâteau, la posidonie est un incroyable puits de carbone et produit des quantités phénoménales d’oxygène. Pour la même surface qu’une forêt terrestre, elle capte vingt fois plus de carbone.

Alors, non seulement la posidonie est essentielle à la biodiversité, mais elle est aussi une alliée indispensable pour limiter le réchauffement climatique. Mais cette doyenne de la Méditerranée (un herbier de plus de 100 000 ans a été découvert dans les Baléares) est en souffrance : la posidonie a perdu 10 % de sa surface en un siècle. En cause, les pollutions en tous genres, le chalutage ou encore les ancrages des bateaux. Avec leurs ancres géantes, les plus gros yachts peuvent arracher des dizaines de mètres d’herbiers qui ont mis des siècles à pousser.

La prise de conscience de l’importance de protéger la posidonie est aujourd’hui réelle.

En 2021, des arrêtés sur la côte méditerranéenne française ont été pris pour interdire les ancrages dans les zones d’herbiers. Des bouées d’amarrage, des zones de mouillage alternatif… les solutions existent. En France, en Espagne, des scientifiques et des associations collaborent pour cartographier la posidonie. L’application mobile Donia a ainsi été créée pour permettre à tous les plaisanciers de poser leur ancre loin des herbiers. Des expérimentations de replantation de la posidonie essaiment également un peu partout en Méditerranée. Il y a de l’espoir pour la posidonie, au niveau français comme international, avec la création en 2020 du Mediterranean Posidonia Network, regroupant onze États qui partagent des enjeux communs de protection de cette plante miraculeuse.

© boréales

Les aires marines protégées en Méditerranée

« Il faut créer de nouvelles aires marines protégées ».
Lors du One Ocean Summit de Brest en février 2022, ce leitmotiv était dans toutes les bouches.

Quelle est la situation des aires marines protégées aujourd’hui en Méditerranée ? Quelle est leur efficacité pour préserver la biodiversité ?

 

Les aires marines protégées définissent des règles d’usages de zones précises sur la fréquentation comme sur les prélèvements. En France, plusieurs statuts existent : parcs nationaux, parcs naturels marins, réserves naturelles… Dans ces aires marines, on restreint souvent la pêche, on contrôle les activités nautiques. Leurs bénéfices sont nombreux : refuges pour les espèces menacées (comme avec le phoque moine et le parc marin des Sporades), restauration des habitats dégradés, retombées positives pour les zones voisines…

 

7,4 % du bassin méditerranéen est couvert par des aires marines protégées. En France, près de la moitié des eaux territoriales méditerranéennes sont des AMP. Mais moins de 1 % sont protégées par des mesures « fortes ».

 

Aujourd’hui, scientifiques et associations sont unanimes : les aires marines protégées sont un outil indispensable pour préserver la biodiversité. Mais à la condition qu’elles restreignent réellement les activités et que les moyens pour faire respecter les règles soient suffisants. En septembre 2021, la France a annoncé l’objectif de placer 5 % de ses eaux territoriales en Méditerranée en « protection forte ». Un premier pas essentiel pour la fragile biodiversité méditerranéenne.

Le plastique en Méditerranée

200 000 tonnes de plastique sont rejetées chaque année en Méditerranée. L’impact de ce plastique sur le vivant est dramatique. Oiseaux marins, poissons, tortues, baleines… sont tous sous la menace mortelle du fantastique plastique. 

Mais alors que faire, quand le plastique semble omniprésent dans nos vies ?

–       Voter des lois pour interdire les plastiques à usage unique

–      Investir massivement dans de nouveaux matériaux biodégradables pour remplacer le plastique

–       Recycler, réemployer au maximum

–       Sensibiliser à des comportements individuels plus « vertueux »

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