NICOLAS LE FLOCH

Nicolas Le Floch : Le Cadavre anglais

Série - Inédit - Lundi 18 décembre 2017 à 20.55

Nouvel inédit de la série « Nicolas Le Floch ». À l’heure où la couronne de France s’apprête à soutenir les insurgents contre l’Empire britannique, le policier du roi est mandaté par le jeune Louis XVI pour éviter un désastre diplomatique. S’il a promis son aide au monarque, c’est une autre affaire qui intrigue le célèbre commissaire et marquis de Ranreuil : le meurtre d’un évadé dont on cherche à taire l’identité…

Pour s’être trop approché d’un fiacre garé dans une ruelle déserte, Nicolas Le Floch a échappé de peu à la mort. Mais, il en est certain, à l’intérieur, il a reconnu un célèbre espion anglais, Lord James Harris. Or, ce fiacre se trouvait non loin de la prison de Fort-L’Évêque, au pied de laquelle le corps d’un évadé, inconnu, a été découvert poignardé. Si les raisons de cet homicide intriguent le policier, nombreuses sont les personnes à souhaiter voir Le Floch abandonner l’affaire. À commencer par Monsieur de Sartine, désormais ministre de la Marine, pour qui « il n’y a pas eu d’homicidé à Fort-L’Évêque » et qui réclame sur-le-champ qu’on lui livre le corps et les effets de la victime. Il va même jusqu’à invoquer la guerre à venir contre les Anglais et la raison d’État pour expliquer son silence. Si Le Floch n’est pas insensible au propos, il n’en reste pas moins policier. Or, un homme de loi a pour vocation de mener à bien ce pour quoi il a été nommé. Dans le cas présent, trouver l’identité de la victime, les raisons de son emprisonnement, de son évasion et enfin celles de son trépas. En examinant les mains du mort, Sanson lui livre une information capitale. Cet inconnu était ouvrier horloger. Ne reste plus au commissaire qu'à trouver ce qui le rendait si particulier pour qu’Anglais et Français s’intéressent tant à lui...

Bourdeau à Le Floch :


« Mais quel besoin de mêler petit cadeau et traité d’alliance militaire au moment où le pays va basculer dans la guerre contre l’Angleterre. Non, mais quelle stupide affaire ! Futiles comme le sont toujours celles des grands, non ? »

Au cours de cet épisode en deux parties, Nicolas le Floch est aussi mandaté par Louis XVI pour retrouver une flûte subtilisée dans ses appartements privés et destinée à l’empereur d’Autriche, avec lequel le roi souhaite sceller un traité d’alliance militaire. Persuadé d’avoir entraperçu l’objet dans les mains d’une protégée de la reine, le commissaire se doit de résoudre l’affaire rapidement, car il suspecte la dame Cahuet de Villers d’être au mieux une profiteuse, au pire une intrigante. Or, enquêter à la cour n’est jamais discret. Les rumeurs s’y propagent aussi vite que les fourberies. Et lorsque la reine l’implore de l’aider à s’extirper d’un sordide chantage, le marquis de Ranreuil découvre que les deux affaires sont liées. À lui maintenant de mettre fin à tout cela dans le plus grand secret, bien évidemment !

2 x 52 min
Réalisé par Philippe Berenger
Scénario et adaptation de Hugues Pagan et Philippe Berenger
Dialogues Hugues Pagan
Avec la collaboration de Catherine Lapasset

D’après l’œuvre de Jean-François Parot (Éditions JC Lattès)
Musique originale composée par Stéphane Moucha

Produit par La Compagnie des Phares et Balises / Jean Labib et Louise Barnathan
Avec la participation de France Télévisions, TV5 Monde, Czech Television, Orian Group – TVP Historia et de MHz et du Centre National de la Cinématographie
Avec le soutien du programme MEDIA de l’Union européenne

Avec Jérôme Robart, Mathias Mlekuz, François Caron, Vincent Winterhalter, Claire Nebout, Sava Lolov, Michaël Abiteboul, Norah Lehembre, Yves Lambrecht, Louis Barraud, Claire Ganaye, Agnès Soral, Paul Bandey, Chloé Coulloud, Martin Lamotte, Antoine Chappey

Contact presse

Ludovic Hurel
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