Max & Maestro

Max & Maestro - INÉDIT

À partir du lundi 26 mars à 17.15 sur France 4

Max est un garçon comme beaucoup d’autres. Il vit avec ses parents dans une cité tranquille, il fait du foot et du rap. Il est clavier dans le groupe Les Ninjas VNR. Un jour, Daniel Barenboim et la musique classique entrent par hasard dans sa vie, et cette rencontre change son existence. Il ne pense plus qu’à une chose : devenir un grand pianiste ! Et c’est logiquement M. Barenboim, le plus grand chef d’orchestre au monde, qui va lui montrer le chemin.

Ce M. Barenboim n’est pas un prof comme les autres : au milieu de son emploi du temps de ministre, il arrive à faire comprendre à son élève les notions parfois compliquées de la grande musique, et de la musique tout court, en se servant de la vie de tous les jours. Max kiffe son prof autant que ses leçons : chacun de ses cours devient l’occasion de vivre une aventure !

Le seul problème, c’est que, dans le quartier de Max, la musique classique, c’est très mal vu. Alors de peur de perdre ses amis, il prend ses leçons dans le plus grand secret…

Max & Maestro

Du lundi au vendredi à 17.15 dans les Minikeums

Avec la participation de

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Durée : 52 x 11 min 30

Genre : Amitié, musique

Animation : Animation 2D

Réalisateur : Christophe Pinto

Répertoire classique : Daniel Barenboim

Musique originale : Akhenaton

Une production : Monello Productions et MP1

« Nous sommes très fiers de lancer cette série d’animation au cœur des missions de service public. Quoi de mieux que l’animation pour faire découvrir et aimer aux enfants un univers qui leur est souvent étranger, la musique classique. Cette série n’aurait pas pu voir le jour sans le talent de Daniel Barenboim et d’Akhenaton, et le partenariat européen entre France Télévisions, Monello, la RAI et la HR. » Tiphaine de Raguenel


« La musique m’a enseigné plus de choses à propos de la vie que la vie ne m’en a enseigné à propos de la musique. »

Daniel Barenboim est un chef d’orchestre et un pianiste israélo-argentin. Il est mondialement reconnu pour son talent d’instrumentiste aussi bien que pour ses qualités de direction. Il est très impliqué dans l’éducation et la sensibilisation à la musique classique.

Pourquoi est-il important de faire aimer la musique classique aux plus jeunes ?
D. B. : Nous vivons une période où il n’y a pas vraiment d’éducation musicale dans les écoles. Si nous voulons qu’il y ait un public pour demain et que les enfants s’intéressent à la musique, nous devons chercher de nouvelles méthodes entre l’information et l’éducation à la musique. Le scientifique Antonio Damasio de l’université de Los Angeles a récemment observé l’influence de la musique classique sur des groupes d’enfants. Son expérience montre que le développement du cerveau est beaucoup plus important avec la musique classique.

Quelles ont été les raisons qui vous ont poussé à prêter votre image et votre nom à une série d’animation autour de la musique classique ?
D. B. : Pour moi, Max & Maestro est un projet très important, car il donne la possibilité aux enfants de s’intéresser, de s’amuser et d’apprendre sans effort. C'est un support formidable pour leur développement intellectuel et émotionnel.

Les 52 morceaux joués par le personnage de Daniel Barenboim dans la série sont interprétés ou dirigés par le maestro en personne et il a même joué certains morceaux spécialement pour la série.

Daniel Barenboim

1975-1989 : directeur musical de l’Orchestre de Paris

1988 : nouvelle production du Ring de Wagner à Bayreuth

1991-2006 : directeur musical de l’Orchestre symphonique de Chicago

1999 : création du West-Eastern Divan Orchestra

2006 : prix Ernst-von-Siemens

2011 : directeur musical de la Scala de Milan

« Pour son engagement dans la sensibilisation des enfants à la musique classique et son goût de la transmission, Daniel Barenboim était le seul à pouvoir incarner le Maestro de Max dans la série. »
Piero Maranghi, producteur


« Il est arrivé de nombreuses fois au groupe IAM de s’inspirer de grandes œuvres classiques. »

Akhenaton est rappeur, membre fondateur du groupe IAM. Il est aussi reconnu pour son travail comme producteur et réalisateur.

Qu’est-ce qui vous a motivé à accepter de créer le score hip-hop d’une série d’animation qui valorise la musique classique ?

A. : Parce que, pour moi, Max & Maestro valorise la musique avec un grand M avant tout. Et c’est plutôt rare. Le hip-hop est une culture qui s’inspire de tout, et de tous les genres musicaux, y compris le classique. Cela m’a paru naturel, je n’y vois pas d’opposition de styles. Il me semble qu’aujourd’hui, plus que jamais, il est vital de rapprocher des gens qui sont renvoyés dos à dos dans leur quotidien.

Est-il important de transmettre la musique classique à la jeune génération ?

A. : Il est important de transmettre la musique classique comme tous les autres genres musicaux, car la culture musicale poussée engendre de très bons artistes, mais aussi un public plus exigeant sur la qualité des compositions et de l’écriture.

Akhenaton

1988 à aujourd’hui : membre du groupe IAM

1995 : Métèque et Mat, premier album solo

2000 : coréalise avec Kamel Saleh le film Comme un aimant

2005 : prête sa voix au générique de la série d’animation Foot 2 rue

2017 : sortie de Rêvolution, dernier album d’IAM

« Pour nous, Akhenaton est au rap ce que Daniel Barenboim est à la musique classique, c’est-à-dire que dans la musique rap c’est une référence reconnue par tous et qu’il a, lui aussi, cette envie de transmettre aux jeunes générations. » Giorgio Welter, producteur


« Il y avait dans ce projet une réelle richesse de diversité culturelle. »

Comment avez-vous défini le style graphique de la série ?

C. P. : En comprenant que la richesse du projet résidait dans son mélange de genres, j’ai cherché une recette qui reposerait sur ce principe tout en s’écartant des codes usuels. J’ai donc élaboré un univers solidement dessiné, à la fois cartoon, réaliste et d’inspiration graffiti. Ainsi les personnages perdent leur contour pour mieux se fondre dans cette fresque musicale.

Christophe Pinto

Max Bellerose, 11 ans et demi

MaxÀ la cité du Bout-en-Train, tout le monde sait qu’il y a un gars pas comme les autres : Max. Casse-cou, débrouillard et malicieux. Son groupe de hip-hop Les Ninjas VNR lui rapporte un petit succès d’estime au collège. Bref, Max gère, et tout le monde l’adore dans le quartier : il a, avant tout, le cœur sur la main.

Max préférerait mourir que de perdre ses potes et sa réputation. Et c’est pour cela qu’il garde soigneusement enfoui son secret le plus important, son rêve le plus cher : devenir un jour un grand musicien de classique, car Max adore le piano et vibre pour la grande musique…

M. Barenboim

Immense chef d’orchestre, pianiste hors pair, gros caractère, mais aussi original et fantaisiste, M. Barenboim a parcouru le vaste monde des années durant, à la recherche d’expériences musicales, d’instruments rares et de talents. Au fil des ans, il a acquis une connaissance encyclopédique de la musique. Sa vie continue d’être rythmée par des rencontres et des moments musicaux exceptionnels, dirigeant des orchestres, conseillant au passage les plus grands musiciens sur des questions brûlantes de jeu, d’interprétation, etc.

M. Barenboim est avant tout un passionné. Il a gardé de ses origines argentines une fougue toute latine. Il peut passer en deux secondes de l’enthousiasme le plus débridé au mutisme le plus total. Avec le Maestro, Max ne sait jamais sur quel pied danser. Mais une chose est sûre : il ne s’ennuie jamais !

LéonLéon Bulle, 11 ans
Meilleur pote de Max, Léon est parolier-DJ de son groupe de rap Les Ninjas VNR, un vrai poète.


LamiaLamia Zaïm, 10 ans et demi
Voisine de palier et meilleure amie de Max, Lamia est très vive et intelligente. C’est la seule de ses amis à connaître son secret.


Bakary Diallo, 12 ansBakary
Obsédé par le foot, Bakary est aussi chanteur et human beatbox.

 

Bande annonce

Iframe

Chaque épisode de la série se clôt par un clip d’environ 50 secondes qui permet de réécouter la pièce musicale, mais cette fois à travers le ressenti de Max, en plongeant le spectateur dans ses émotions via une mise en images onirique de l’aventure vécue. Max peut ainsi danser parmi les notes de musique, nager avec des poissons ou encore faire du skateboard sur les nuages, tout imprégné par le morceau qu’il a découvert.

Dans chaque épisode de Max & Maestro sont abordées en parallèle une notion musicale et une intrigue de vie. Ces deux histoires s’articulent ensemble, l’une résonnant singulièrement sur l’autre, et vice versa. Le Maestro peut choisir le thème de la leçon du jour en fonction du problème rencontré par Max dans sa vie quotidienne. Tout comme Max peut essayer ensuite de résoudre ses problèmes à la lumière de ce qu’il apprend en musique.

Par exemple, lorsque le Maestro explique à son jeune élève la différence entre entendre la musique et l’écouter, la leçon fait écho dans la vie de Max : il se rend compte qu’il a entendu que quelque chose n’allait pas chez son ami Léon, mais qu’il n’a pas « écouté » les appels à l’aide de celui-ci, qui se fait embêter à l’école. Un autre jour, lorsque Max agit trop vite dans un petit boulot qu’il fait pour aider son papa, le Maestro se sert du concept du crescendo pour lui expliquer l’importance de faire les choses progressivement, petit à petit. Ou encore, lorsque Max est agacé par Bakary, qui parle plus fort que les autres lors d’un exposé en groupe, Daniel Barenboim lui enseigne la différence entre la force et l’intensité : il n’est pas nécessaire de jouer – ou parler – fort pour se faire entendre, il suffit de faire les choses avec intensité.

Maestro

 

 

Groupe

 

Info +

DemosLe projet Démos de la Philharmonie de Paris soutient Max & Maestro

Démos est un projet de démocratisation culturelle s’adressant à des enfants issus de quartiers relevant de la politique de la ville ou de zones rurales insuffisamment dotées en institutions culturelles. Depuis 2010, Démos s’attache à favoriser l’accès à la musique classique par la pratique instrumentale en orchestre. Initié et coordonné par la Cité de la musique - Philharmonie de Paris, Démos compte aujourd’hui 30 orchestres sur le territoire national.

Hélène Marteau
Contact - France Télévisions

Service presse France 4

Vincent Vignon
Contact - France Télévisions
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