Retour à l'essentiel

En France, il existe de plus en plus de gens qui ont décidé de vivre en se débarrassant du superflu et en retrouvant le chemin de la nature.

Gaëlle les a rencontrés en sillonnant les routes de Bourgogne-Franche-Comté pour un véritable retour à l'essentiel.

► Être plutôt qu’avoir, c’est ce que choisissent de plus en plus de gens à la ville comme à la campagne, en réaction à la surconsommation et à son impact sur l’environnement.
L’industrie du vêtement est l’une des plus polluantes, mais comment renoncer au plaisir de se vêtir et de changer sa garde-robe.
En créant Graine de Paillettes à Dijon, Laurie développe le concept de mode circulaire. Voici une solution de mode écoresponsable avec des vêtements d’occasion soigneusement sélectionnés.

► Donner une seconde vie à des objets avant de s’en débarrasser, c’est aussi ce qui anime l’équipe de La Recyclade.
La Recyclade a obtenu l'agrément ESUS, entreprise solidaire d'utilité sociale et dispose d'une boutique située à Nuits-Saint-Georges en Côte-d'Or, où se vendent de nombreux objets valorisés. Avec cette association solidaire, dont le but est aussi de créer des emplois, rien ne se perd et tout se transforme.

 ► Julien exploite un domaine viticole à Nolay, dans les Hautes Côtes de Beaune. Passionné de philosophie et amoureux de la nature, il veut faire coïncider ses deux passions, l’agriculture biologique et la biodynamie.
Julien a mûrement réfléchi avant de se lancer dans  l’élaboration de vins nature.

► Dans le Haut-Doubs Gaëlle a rencontré Paul et Camille, une jeune génération éco-responsable qui n’a pas froid aux yeux. C’est au Québec qu’ils ont découvert un nouveau concept d’habitat : la Tiny House, une petite maison nomade et écologique.
Autonome en eau et dotée de panneaux solaires, une Tiny House coûte environ 60 000 euros. Pas besoin de terrain constructible, ni de permis de construire ! 

► En Haute-Saône, au pied des Vosges, dans la région des Mille Etangs, Flora attend Gaëlle dans sa ferme, où elle élève plus d’une centaine de cochons noirs de Gascogne et quelques vaches.
Cette jeune ingénieure agronome produit une viande de qualité avec des animaux élevés dans les meilleures conditions de vie possibles.

► À 950 m d’altitude, au pied du Mont d’Or, la ferme de la Batailleuse est depuis une trentaine d’année une ferme ouverte.
L’association, qui fonctionne en autogestion, ne produit pas seulement du lait à comté, elle est très attachée à sa fonction pédagogique et à l’éducation à l’environnement. 

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