
J’ai menti
Le mensonge blesse, la vérité peut tuer. La nouvelle série événement portée par Camille Lou et Thierry Neuvic.
Le mensonge blesse, la vérité peut tuer
France 2 propose dès le mercredi 6 octobre sa nouvelle série événement J’ai menti, portée par Camille Lou et Thierry Neuvic.
Réalisé par Frédéric Berthe, J'ai menti interroge, avec les codes narratifs du thriller, sur la capacité à avancer dans la vie, après avoir proféré, adolescent, un mensonge. Insignifiant au premier abord, il devient une véritable catastrophe au fil du temps.
Comment affronter alors les dommages collatéraux qu’il engendre et ses conséquences parfois irréversibles ?
Synopsis
Audrey Barreyre, 35 ans, est l’unique rescapée d’un tueur en série qui a sévi dans la région de Biarritz seize ans plus tôt.
Son passé ressurgit brutalement lorsqu’une jeune fille de 17 ans est retrouvée assassinée sur la côte basque en 2019. Rien ne relie ce meurtre au tueur de l’époque, et pourtant, Audrey en est certaine : il est de retour.
Pour le prouver, elle va devoir affronter son passé et ses mensonges.
Car la nuit de son agression, elle a menti.
Sur tout.
À tout le monde…
Avec
Camille Lou (Audrey Barreyre), Thierry Neuvic (Joseph Layrac), Marilyn Lima (Pauline Layrac), Annelise Hesme (Sophie Barreyre), Hubert Delattre (Jean-Christophe Barreyre), Oscar Berthe (Léo), Stéphan Guérin-Tillié (Mikel Condé), Hélène Seuzaret (Catherine), Roxane Bret (Ana Condé), Christopher Bayemi (Jean Vigne), Nicolas Abraham (Victor Inuretta), Natalia Dontcheva (Marianne), Patrick Medioni (Franck Montel), Prudence Leroy (Chloé), Ilana Bachelier (Elaura Montel), Nicolas Amen (Éric), Thomas Sagols (Corentin)...
Note d’intention de Bénédicte Charles et Charles Pouponneau, scénaristes
Avec J’ai menti, nous voulions nous mettre dans la tête d’une survivante d’un serial killer.
Au-delà du traumatisme de l’agression, comment gérer la culpabilité d’avoir échappé à la mort — contrairement aux autres victimes ? Comment aider la police pour empêcher que d’autres agressions surviennent ? Comment se libérer de la peur ? Comment reprendre une vie normale ? Comment faire à nouveau confiance ?
Nous voulions aussi parler de résilience.
Certaines victimes sont assez fortes pour affronter le danger, ne pas montrer leur peur et reprendre leur vie d’avant, comme si rien ne s’était passé.
C’est le cas d’Audrey, notre héroïne. Elle est tellement combative qu’elle propose à la police de servir d’appât pour tenter d’arrêter le serial killer.
Sauf que cette attitude se retourne contre elle : Audrey ne ressemble pas à l’image qu’on se fait habituellement d’une rescapée. Elle semble tellement peu traumatisée que certains commencent à se poser la question de sa crédibilité : et si elle avait inventé son agression ?
Or, oui, Audrey a menti.
Comme son titre l’indique, le mensonge est au cœur de la mini-série.
Nous souhaitions suivre comment la mécanique infernale du mensonge peut se mettre en place : une simple bêtise d’adolescent entraîne Audrey à mentir un peu, puis un peu plus, puis encore plus jusqu’à provoquer un véritable cataclysme qui va ruiner totalement sa vie — et celle d’autres personnes.
Peut-on se libérer du poids du mensonge ?
Peut-on réparer ses erreurs ?
C’est la dynamique propre à la mini-série : nous voulions que notre héroïne, seize ans plus tard, revienne sur les lieux du drame et affronte ses démons.
Se libérer du poids du mensonge qui empoisonne sa vie d’adulte. Mais pour cela, elle doit être prête à tout. Même mettre sa vie en danger.

Série
6 x 52 min
(2 épisodes par soirée)
Scénario et dialogues
Bénédicte Charles
Charles Pouponneau
Réalisation
Frédéric Berthe
Production
UGC Fiction
Productrice
Karine Evrard
Directeur des productions
Benjamin Hess
Directrice littéraire
Anne Voirin
Unité fiction française
France Télévisions
Anne Holmes
Anne Didier
Frédéric Goetz