La Forêt © Patrick Fouque

La Forêt

Tous coupables jusqu'à preuve du contraire

Dans La Forêt, le réalisateur Julius Berg a su, avec sa délicate mise en scène, conférer une grande dimension humaine à l’enquête policière, proche de ce que les gens vivent réellement, et exprimer les insolubles dilemmes auxquels ils sont confrontés dans une quête de vérité qui comporte de grandes zones d’ombre. Cette série joue avec les codes du genre, le thriller. La Forêt se veut ainsi plus lumineuse que mystérieuse, accueillante, parfois accompagnante, et elle dessine grâce aux subtiles et touchantes interprétations de Samuel Labarthe, Suzanne Clément, Frédéric Diefenthal et Alexia Barlier quelques trajectoires remarquables de personnages qui s’élèvent, gagnent en puissance, en force, nous touchent par les capacités de résistance et de résilience qu’ils se découvrent, de la tendresse qu’ils transportent et par la nouvelle place qu’ils prennent dans leur famille, dans leur communauté.

        

 

À Montfaucon, un petit village paisible des Ardennes, tout bascule quand Jennifer, une adolescente du village, disparaît. L’enquête est confiée au lieutenant Virginie Musso, qui vit là depuis toujours, et placée sous les ordres du capitaine Decker, fraîchement muté sur place. La professeure de français, Ève Mendel, très proche de ses élèves, s’implique immédiatement dans l’affaire, au risque de faire ressurgir un lourd passé… <br /> Peu après, les deux meilleures amies de Jennifer, Océane et Maya, la fille du lieutenant Musso, disparaissent à leur tour. La dépouille de Jennifer est bientôt retrouvée dans la forêt. La jeune fille a été enterrée dans une tombe de fortune à la mise en scène étrange…À Montfaucon, la tension monte d’un cran.

 

Document
Pictogramme francetvpro
Pictogramme Phototélé
Pictogramme France.tv Preview
Pictogramme Instagram france 3