Monte le son, Les Sessions — Tim Dup

Il a 21 ans, des yeux transparents, un air juvénile, des textes intenses et une voix singulière. Timothée — devenu Tim Dup sur scène — est un jeune homme sensible et sincère, passeur d’un vague à l’âme musical.

Il commence les cours de piano à sept ans et en a fait depuis son allié pour dompter la scène en solitaire. Sa chance, confie-t-il, c’est d’avoir atterri entre les mains d’un professeur qui a eu le don de repérer son talent, la patience de le laisser s’épanouir et la souplesse de sortir des cadres. Apprendre pour défaire, s’exercer puis créer : à 13 ans, il écrit sa première chanson « pour impressionner la fille dont [il] étai[t] amoureux ».

Sa mélancolie est un refuge, un truc qui lui permet de regarder la vie, de capter les émotions, de traduire ce qui le touche en chansons. De compositions en petites scènes, il s’éveille. Le monde l’inspire, une anecdote, une situation... Tim Dup devient peu à peu un conteur d’histoires : il délie ses pensées, libère les mots et les ondes mélodieuses. À 22 ans, il écrit la vie à sa manière, en brisant les étiquettes, en racontant un monde ni blanc ni noir mais définitivement optimiste.

Son bac en poche, un diplôme en devenir, le « ramasseur de souvenirs » a sorti son premier EP en août dernier, et promène depuis son univers de scène en scène : il jouera le 8 juillet sur le parvis de l'Hôtel de Ville de Paris, dans le cadre du Festival FNAC Live, ainsi qu'aux Francofolies de La Rochelle le 15 juillet prochain !

Le même soir à 20.50, la quotidienne de « Monte le son » dévoilera quelques extraits de ce live prometteur...