Soirées

Les soirées de la semaine 33

samedi 12 au vendredi 18 août 2017 - Guadeloupe 1ère

Deux policiers mènent leur première enquête ensemble lorsqu'ils doivent retrouver l'auteur d'un meurtre commis pendant le carnaval de Dunkerque...

20.05

MEURTRES A DUNKERQUE

A Dunkerque, pendant les festivités du carnaval, un homme est retrouvé pendu en haut d'un mât. Tout le commissariat de la ville est sur le qui-vive.

Le capitaine Janie Roussel, véritable encyclopédie vivante du carnaval, va devoir associer sa culture à l'esprit analytique d'Eric Dampierre, jeune policier parisien tout juste installé dans le Nord. Contre toute attente, les deux enquêteurs s'entendent à merveille. Ils s'intéressent au profil de la victime, Marc Vandernoot. Cet agent immobilier aux méthodes peu scrupuleuses et faisait partie du fameux groupe des Corsaires dunkerquois. Faut-il chercher dans ces activités un mobile pour le crime 

Avec Charlotte de Turckheim, Lannick Gautry, Jean-Michel Fête, Bruno Paviot, Catherine Demaiffe, Tom Hudson, Floriane potiez, Antoine Domingos

Bon rétablissement réalisé par Jean Becker ne cesse de surprendre grâce à un scénario pour le moins original. Cette comédie, en apparence légère, tente une approche du milieu hospitalier et soulève de sérieuses questions telles que le rapport à la mort, la grossesse chez les mineurs ou encore la prostitution occasionnelle.

20.05

BON RÉTABLISSEMENT

Pierre, vieil ours solitaire de 60 ans et misanthrope au possible, se retrouve alité à l’hôpital, une jambe dans le plâtre suite à un accident. Il assiste impuissant au défilé quotidien des médecins, des infirmiers, des proches ou de son frère Hervé, à son plus grand désarroi. Mais au fil des rencontres inattendues, drôles ou touchantes, Pierre s’ouvre petit à petit à l’autre et reconsidère certains de ses a priori. Contre toute attente, ce séjour à l’hôpital finit par être une renaissance, la guérison semblant alors bien plus profonde…

Avec Gérard Lanvin, Claudia Tagbo, Jean-Pierre Darroussin, Fred Testot, Anne-Sophie Lapix...

Gérard Jugnot signe une comédie hilarante et pleine de surprises! Porté par un casting de choix, l'ensemble fonctionne à merveille : Jugnot, truculent, en homme pressé au bord de la crise de nerf, Jean Yanne en gourou irritable et François Morel en rescapé candide.

21.10

FALLAIT PAS !

Bernard Leroy, DRH, n'aurait jamais dû accepter que son entreprise l'envoie à "un stage commando" en montagne, la veille de son mariage avec Constance... Tombé en panne sur la route du retour, à proximité d’un chalet isolé, il décide de demander de l’aide. Fallait pas, vraiment pas ! Pour son plus grand malheur, ce cadre pressé tombe sur une bande d'illuminés, légèrement sectaires et sur le point de s’adonner à un sacrifice expiatoire ! Le chemin qui mène le futur marié vers sa promise va s'avérer très long et bien mouvementé !

Avec Gérard Jugnot, François Morel, Michèle Laroque...

Il entend. Il perçoit. Il goûte. Après le cinquième mois de grossesse, le fœtus entre en interaction avec son environnement, et ses gènes s’en souviennent. Romain Icard, réalisateur, a pénétré cet univers intime du futur bébé et nous invite à découvrir dans ce docu-fiction cette mémoire d’un autre monde.  

20.55

NOS BÉBÉS ONT UNE HISTOIRE

Quel a été le point de départ de cette aventure ?
Avec ma productrice, Patricia Boutinard-Rouelle, nous avons discuté des nouvelles avancées scientifiques en matière de vie fœtale depuis dix ans et du magnifique film de Nils Tavernier, L’Odyssée de la vie. En effectuant quelques recherches, il nous est apparu qu’aujourd’hui, les médecins sont capables de prouver scientifiquement que l’environnement influence l’expression des gènes du fœtus et qu’ils peuvent entrer en interaction avec le monde fœtal, uniquement en cas de malformation lourde, notamment grâce à une chirurgie de pointe qui se pratique in utero.

Comment prouve-t-on l’influence de l’environnement sur le fœtus ?
Par l’épigénétique*. Cette science a prouvé ce que les psychologues, les haptothérapeutes** et la plupart des futures mamans tentent de démontrer depuis des décennies ou d’expliquer de manière empirique. L’environnement a une importance cruciale dans le développement du futur bébé. Ces preuves sont génétiques et biologiques et sont, aujourd’hui, indiscutables.  

D’où votre postulat de départ : « Le jour de la naissance n’est pas le premier jour de notre vie »…
Nous ne naissons pas comme une page blanche. Nous possédons la mémoire de notre vie in utero. À partir du cinquième mois de grossesse, le fœtus commence à « goûter », au travers du liquide amniotique, les repas de sa mère. Il perçoit ses émotions, la lumière, les sons… Tous ces éléments vont impacter l’expression de ses gènes. Le professeur Storme parle de patrimoine génétique culturel. Mais, rassurons-nous, il n’y a pas de fatalité. Ces effets ne sont pas irréversibles. 

Dans certains cas, l’interaction provient du corps médical. Est-elle très invasive ?
Certaines malformations exigent une chirurgie fœtale, comme l’hernie de coupole diaphragmatique***. En France, nous sommes à la pointe de cette chirurgie grâce au professeur Alexandra Benachi, qui a pris la succession du professeur Frydman à l’hôpital Antoine-Béclère, et Yves Ville, chef de service à Necker. Ils m’ont mis en contact avec plusieurs familles confrontées à cette difficulté.

Pourquoi avoir choisi le genre du docu-fiction ?
En rencontrant les médecins et les familles dans les services de néonatalogie et de gynécologie, je me suis vite aperçu de l’impossibilité de les filmer dans des moments aussi douloureux, où la mort s’invite parfois dans le processus de vie. Déontologiquement, c’était incompatible. Dès lors, la fiction s’est imposée. Nous nous sommes inspirés de la réalité de ces témoins pour donner corps à nos personnages. Les témoins racontent leur parcours, a posteriori, quand la charge émotionnelle est moins dense. Dans la forme, je me suis inspiré des meilleurs docu-fictions : Un cœur qui bat, Le Cerveau d’Hugo, Du baiser au bébé...


Quelques propos recueillis par Diane Ermel
 

 

Aux commandes de ce Tandem, le duo de flics composé du commandant Léa Soler, jouée par Astrid Veillon et du capitaine Paul Marchal, campé par Stéphane Blancafort. Les deux héros, divorcés depuis dix ans et ayant pris soin d'évoluer professionnellement loin l'un de l'autre, sont contraints de travailler ensemble

20.05

TANDEM SAISON 1

Ex-époux et parents d’Alice et de Thomas, à la ville, ils travaillent dorénavant dans la même brigade. Pour le colonel Vauvert, témoin involontaire de leurs chamailleries, la situation devient même critique : « Dieu sait que ce n’était pas simple avant que vous preniez le commandement [au commandant Soler]... Enfin, ça ne s’est pas arrangé ! » Impossible pour eux de laisser sur le palier de la gendarmerie leurs problèmes familiaux. Sans parler de leurs divergences en matière d’investigation. Il faut dire que Soler est ordonnée et aime le travail en équipe quand Marchal fonctionne à l’instinct et oublie régulièrement de tenir informés ses collègues ou sa supérieure de ses agissements.

Avec : Astrid Veillon (Léa Soler), Stéphane Blancafort (Paul Marchal), Piérick Tournier (Erwan Lebellec), Nelly Lawson (Camille Barbier), Renaud Leymans (Éric Vernet), Sarah-Cheyenne (Alice), Titouan Laporte (Thomas)

Mathias Freire, psychiatre, et Anaïs Chatelet, capitaine à la brigade criminelle, sont liés l’un à l’autre par la mémoire et la mort. Une série de crimes inspirés de la mythologie grecque les réunit pour une enquête qui les mènera face à eux-mêmes et à leurs propres démons…

20.05

LE PASSAGER SAISON 1 Ep. 5/6

Christophe Grangé a transposé lui-même à l’écran son thriller best-seller de 2011. Dans le premier épisode, Un homme nu, coiffé d’une tête de taureau, est découvert gare Saint-Jean, à Bordeaux. Jeune, belle et vive, le capitaine Anaïs Chatelet décide d’enquêter sur un amnésique découvert errant sur les lieux du crime, recueilli dans son service par le psychiatre Mathias Freire. Évitant la confrontation, Mathias veut tenter une séance d’hypnose. Il plonge l’homme en état de suggestion. Peu à peu, des souvenirs émergent.

La réalisation stylisée de Jérôme Cornuau, imprégnée d’une atmosphère proche du cinéma fantastique, diffère de celle des polars habituels du petit écran. 

Avec : Jean-Hugues Anglade (Mathias Freire), Raphaëlle Agogué (Anaïs Chatelet), Michaël Cohen (Le Coz), Hocine Choutri (Jaffar), Serge Riaboukine (commandant Solinas),